• In My Mail Box - Juillet 2023

     

    In My Mail Box - Juillet 2023

     

    Bonjour à tous ! Il est temps de nous retrouver pour le In My Mail Box de juillet. Après un mois de juin sans achats mais avec beaucoup de lectures, j'ai choisi sept livres en juillet, avec pour thème : des lectures estivales. Que ce soit les couvertures ou parce que ces livres m'inspirent des lectures ensoleillées, des lectures estivales...

    Alors, on prend son sac de plage, ses lunettes de soleil, sa crème solaire et c'est parti pour la découverte de ces livres qui sentent bon le sable chaud.

     

    Couverture Cape May

    • Cape May, Chip Cheek, Éditions Le Livre de Poche, 2021, 336 pages

    En lisant le résumé de ce roman, j'ai tout de suite pensé à L'été du cyclone de Beatriz Williams. C'est un ressenti tout subjectif et personnel et il se peut que, à la lecture de ce roman, je me dise que je me suis trompée et que ce n'est pas du tout la même ambiance. Pour autant, c'est une lecture tentante et avec une couverture tellement estivale. Je ne pouvais pas passer à côté.

    Résumé : « Quelle soirée ! Il sourit à l’adresse du réverbère qui semblait lui promettre une vie pleine de succès. Et de fait, oui, elle allait être brillante. Il se souviendrait de cette fête jusqu’à la fin de ses jours parce qu’elle marquerait pour lui un nouveau début. Effie et lui ne reparleraient pas souvent de leur lune de miel, mais quand ils le feraient, ils diraient : "Tu te souviens de cette surprise-party chez Clara ? Tu te rappelles dans quel état on était à ce moment-là ?" Et ils éclateraient de rire. »
    Septembre 1957. Henry et Effie passent leur lune de miel à Cape May, dans le New Jersey. Hors saison, la petite station balnéaire n’offre guère de distractions – si ce n’est la découverte du plaisir –, et le jeune couple ne tarde pas à s’ennuyer. Leur rencontre avec un groupe de New-Yorkais riches et délurés va leur ouvrir les portes d’un monde insoupçonné. Cape May devient alors leur terrain de jeu : ils s’invitent dans des maisons vides, font de la voile, se saoulent au gin et marchent nus sous les étoiles… jusqu’à cette nuit où tout bascule.

    Couverture L'année prochaine à la Havane

     

    • L'année prochaine à La Havane, Chanel Cleeton, Editions Charleston, 2019, 375 pages

     J'ai l'impression que ce roman est assez dépaysant...Cuba, les années 1950...pour le coup, c'est un pays que je n'ai pas réellement beaucoup croisé (voire pas du tout) dans les romans que je peux lire et je suis donc ravie de découvrir ce roman qui me semble assez peu présenté sur les blogs et les réseaux sociaux.

    Résumé : La Havane, 1958. Elisa Perez et ses sœurs, Isabel, Beatriz et Maria, sont les joyaux de la dynastie sucrière familiale alors que les hommes de la famille prêchent aux côtés du président Batista. Leur monde en est un de luxe et d’oisiveté; pourtant, les combats font déjà rage dans l’est du pays et, bientôt, la guerre civile frappera au cœur même de La Havane.
    Amoureuse de Paulo, un jeune révolutionnaire idéaliste, Elisa se retrouvera aux premières loges de la chute d’un monde et de la naissance d’un autre. Déchirée entre loyauté familiale et passion amoureuse, elle verra son destin basculer, avec celui de tout un peuple.
    Soixante ans plus tard, sa petite-fille Marisol revient à La Havane sur les traces de sa grand-mère. Y trouvera-t-elle les maillons manquants de sa propre histoire?
    Un roman grandiose qui évoque la beauté déchue et indestructible de La Havane et expose un pan méconnu de l’histoire fascinante de la révolution cubaine.

    • L'île des oubliés, Victoria Hislop, Editions Le Livre de Poche, 2021, 552 pages

    Voilà un roman que j'avais repéré quasiment dès sa sortie. Vous pouvez le voir, le livre de poche a été publié depuis deux ans, donc le grand format l'est depuis au moins un de plus, voire deux. Pourquoi n'ai-je pas ajouté L'île des oubliés plus tôt dans ma PAL ? Je n'en sais rien, mais l'oubli est réparé et je me demande si je ne vais pas le lire dans les semaines qui suivent, même si, pour le coup, ce n'est pas forcément une lecture que j'ai forcément envie de réserver pour l'été.

    Résumé : Saga familiale bouleversante et vibrant plaidoyer contre l'exclusion, ce roman d'évasion plein d'émotion et de suspense nous emporte sur une île au large de la Crète, Spinalonga, l'île des lépreux.
    Alexis, une jeune Anglaise, ignore tout de l'histoire de sa famille. Pour en savoir plus, elle part visiter le village natal de sa mère en Crète. Elle y fait une terrible découverte : juste en face du village se dresse Spinalonga, la colonie ou l'on envoyait les lépreux... et ou son arrière-grand-mère aurait péri.
    Quels mystères effrayants recèle cette île des oubliés ? Pourquoi la mère d'Alexis a-t-elle si violemment rompu avec son passé ? La jeune femme est bien décidée à lever le voile sur la bouleversante destinée de ses aïeules et sur leurs sombres secrets...

    • Une île en Orient, Jenny Ashcroft, Editions Milady, 2019, 450 pages

     Il y a quelques années, je lisais beaucoup de romans historiques se passant en Inde, en Océanie, avec un fond de romance (j'ai par exemple dévoré les romans de Sarah Lark) avant de m'en lasser un petit peu. Et puis parfois, malgré tout, j'ai envie d'y revenir, voilà pourquoi j'ai choisi ce roman qui, pour le coup, nous emmène dans une région du monde que j'ai un peu moins vu dans les romans. Hâte donc de voyager à la fin du XIXème siècle à Singapour. J'ai l'impression que ce roman a de faux airs de Kate Morton, je suis donc d'autant plus encline à le découvrir, je pense qu'il va m'offrir un beau voyage.

    Résumé : Singapour, 1897.
    À vingt ans, Harriet et Mae Grafton sont des jumelles nées d’une liaison scandaleuse. Alors qu’elles sont rejetées par la bonne société, elles ne peuvent que compter l’une sur l’autre. Mais lorsque leur riche bienfaiteur les envoie à Singapour, elles font la connaissance du mystérieux Alex Blake, et leur relation se détériore, ce qui aura des conséquences dévastatrices…
    Singapour, 1941.
    Petite-fille de Mae, Ivy Harcourt travaille à Londres et est affectée à Singapour, alors sous la menace d’une invasion japonaise. Même si Ivy redoute de vivre sur cette île qui lui est totalement étrangère, elle n’est pas du tout préparée à ce qui l’y attend : des inconnus surgissant du passé de sa grand-mère, une histoire d’amour inattendue et un secret qui n’attend que d’être découvert…

    Couverture La Disparue de Birmanie

    • La disparue de Birmanie, Dinah Jefferies, Éditions Hauteville, 2020, 416 pages

    La disparue de Birmanie, c'est un peu comme Une île en Orient...l'envie de découvrir de nouveaux lieux sans bouger de mon transat, un voyage dans le temps et dans un pays que je ne connais pas. Ici, la Birmanie. Je ne sais pas du tout à quoi m'attendre, mais j'ai l'impression qu'il s'agit d'un roman à double-temporalité, avec des secrets de famille et un dépaysement garanti. Hâte donc de me faire ma propre opinion.

    Résumé : « Les nuits de Birmanie sont irrésistibles, pensa-t-elle. C'est comme si toute pensée rationnelle m'échappait : les étoiles scintillent par milliers, la lune a des reflets d'or plutôt qu'argentés et l'atmosphère s'anime de sons mystérieux. Le plus plaisant dans tout cela, c'est la fraîcheur ambiante. Cette merveilleuse et splendide fraîcheur ! ». En 1936, Bella Hatton débarque à Rangoon, en Birmanie, pour embrasser une carrière de chanteuse de cabaret.
    Mais depuis la mort de ses parents, Bella est tourmentée par un article de journal qu'elle a découvert, annonçant le départ précipité de sa mère et de son père de Rangoon après la disparition de leur bébé, Elvira, vingt-cinq ans auparavant. Bella est prête à tout pour découvrir ce qui est arrivé à sa soeur même si elle se confronte vite à des ragots malveillants et à des menaces. Oliver, un séduisant journaliste américain, promet de lui apporter son aide.
    Mais dans un pays où les émeutes entre Birmans et Indiens sont fréquentes, Bella devra apprendre à qui elle peut réellement se fier pour accéder à une vérité étouffée depuis des années. Une petite fille disparaît. Vingt-cinq ans plus tard, sa sœur fera tout pour découvrir la vérité.

    Couverture Grand café Martinique

    • Grand café Martinique, Raphaël Confiant, Éditions Folio, 2021, 320 pages

     Ce roman est dans ma liste d'envies depuis longtemps et pourtant, je ne me décidais pas à l'ajouter à ma PAL...pourtant, il a tout pour me plaire : l'époque, le lieu où se passe l'intrigue (j'ai toujours beaucoup aimé les romans se passant dans les Antilles au XVIIIème siècle)...c'est l'avis d'une autre lectrice sur Instagram qui m'a finalement convaincue et je suis donc ravie d'avoir désormais Grand café Martinique dans ma PAL. Les éditions Folio sont en plus souvent gage de qualité donc je me réjouis maintenant de le lire.

    Résumé : 1702, le jeune Gabriel-Mathieu d'Erchigny de Clieu, originaire de Dieppe, a tout juste quinze ans. Une fois obtenus ses galons d'enseigne de vaisseau, le voilà envoyé à la Martinique : son rêve d'Amérique devient réalité. Il cultive la canne à sucre, qui lui procure rapidement une jolie fortune, une épouse, et une plantation prospère. Quelques années plus tard, il rentre en France une nouvelle idée en tête : cultiver du café aux Antilles. Ce breuvage nouveau devient terriblement à la mode, mais les Français l'achètent à prix d'or aux pays producteurs. Or, le Jardin Royal des Plantes conserve quelques caféiers, sous étroite surveillance. Le hasard fait bien les choses qui met Clieu en contact avec la nièce du médecin personnel de Louis XV qui, par amour pour lui, dérobe deux précieux plants ! L'aventure ne fait que commencer. Clieu doit retourner à la Martinique : il affrète un bateau, recrute un équipage, y embarque son butin et des voyageurs ... Début d'une longue traversée périlleuse, odyssée émaillée d'embûches tragi-comiques - attaque de pirates, calme plat, ouragan, manque d'eau, tentative de mutinerie... Péripéties, rebondissements et surprises émaillent le roman de Raphaël Confiant dont la plume alerte retrace la rocambolesque et véridique histoire du café, des origines à nos jours...

    Couverture Le passage de l'été

    • Le passage de l'été, Claire Léost, Éditions J'ai Lu, 2021, 256 pages

    Je lis peu de romans contemporains : pour ceux-là, il faut que quelque chose m'interpelle dans le résumé, me fasse m'arrêter...c'est le cas pour ce roman de Claire Léost. Je serais bien en peine de vous dire ce qui m'a rendue curieuse mais j'ai eu envie d'ouvrir le livre et de m'y plonger, c'est donc un bon signe pour moi. Je ne pense pas le garder pour l'an prochain et vais probablement le lire en août...je m'imagine bien le lire à la fin de l'été, il me semble qu'il s'y prêtera bien.

    Résumé : Hélène, seize ans, vit au cœur de la Bretagne intérieure, dans un bourg oublié des touristes et cerné par les rochers. Entourée d’un père aimant, de son ami Yannick, ardent défenseur de la cause bretonne, et de sa grand-mère Alexine, diplômée de l’école des druides, elle se destine à devenir institutrice, comme sa mère.
    Mais l’arrivée de Marguerite, nouvelle professeure de français venue de Paris avec son mari, célèbre romancier, bouleverse leur existence à tous. Qu’est venue chercher Marguerite ici, enfoui sous le granit ? Quels drames anciens se murmurent dans la forêt ?
    Le temps d’un été, Hélène va découvrir le vertige du désir, la douleur de la perte et le piège qui se referme sur ceux qui dérangent.
    À la fois saga bretonne et roman d’apprentissage, Le Passage de l’été fait resurgir les secrets et les blessures de trois générations de femmes, de 1945 à nos jours. Il raconte la fin de l’enfance, entre émerveillement des premières fois, chagrin indélébile et promesse d’émancipation.

     

    Et vous ? Avez-vous ajouté des petits nouveaux à votre PAL ce mois-ci ?


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