• [CONSEILS LECTURE] Les livres lus en 2021 que je vous recommande

    [CONSEILS LECTURE] Les livres lus en 2021 que je vous recommande

    [CONSEILS LECTURE] Les livres lus en 2021 que je vous recommande

     

    Bonjour à tous,

    L'année touche à sa fin et il est temps de vous présenter une petite sélection de livres lus en 2021 et que je vous recommande. Vu mes sélections des années précédentes, je peux dire que 2021 aura donc été, globalement, une bonne année parce que comme vous pouvez le constater, c'est une belle liste que je vous présente. C'est parti ! 

    Couverture La prisonnière du temps  La Prisonnière du Temps, Kate Morton, 2020, 720 p.

    Au mois de janvier, j'étais en vacances et je me suis dit que c'était le bon moment pour lire le dernier Kate Morton. J'avais du temps devant moi, je pouvais lire comme je le voulais et quand je le voulais. Et effectivement, j'ai dévoré ce roman ! Pourtant, c'est une belle brique d'un peu plus de sept cents pages mais...quel roman ! Malgré quelques longueurs à la moitié du livre, j'ai été totalement enthousiasmée par ce roman, comme pour L'Enfant du Lac que j'avais lu un peu plus de deux ans plus tôt. J'ai l'impression que l'univers de Kate Morton, sans changer fondamentalement, ne cesse pourtant de s'enrichir et de gagner en maturité. A lire sans hésiter si vous avez aimé les précédents de l'auteure et même si vous ne la connaissez pas encore ! 

    Couverture Le Roi fol  Le Roi Fol, Laurent Decaux, 2019, 336 p.

    En se plaçant dans le sillage de son père Alain Decaux, d'André Castelot ou encore de Maurice Druon, Laurent Decaux plonge dans la grande Histoire mais en l'éclairant d'un regard étonnamment moderne. Le règne de Charles VI n'a jamais été plus vivant que sous sa plume. Passée la première surprise, quand je me suis rendu compte que c'était vraiment très très romancé, je me suis laissée prendre au jeu. En lisant Le Roi Fol, j'ai eu l'impression de lire un cousin des Rois Maudits, qui s'intéresse à une époque de notre Histoire passionnante mais malheureusement bien souvent laissée de côté. 

    Couverture Les déracinés, tome 2 : L'américaine L'Américaine, Catherine Bardon, 2020, 583 p.

    Est-il encore besoin de présenter Catherine Bardon et sa splendide saga qui retrace l'existence d'une famille sur plus d'un demi-siècle ? En décembre 2020 j'ai lu Les Déracinés. Je pourrais même dire que je l'ai dévoré. A la fin de cette lecture, il était admis que je lirai évidemment la suite. Dans l'hiver qui a suivi, j'ai donc lu le deuxième tome, centré sur Ruth, la fille de Wilhem et Almah Rosenheck, les personnages du premier tome. La jeune femme évolue dans un univers particulièrement riche en événement : née au début des années 1940, elle a une vingtaine d'années dans les années 1960 et, de l'Amérique où elle part continuer ses études de journalisme, elle découvre les débuts des revendications pour les droits civiques, l'élan libertaire qui caractérise alors le monde, puis l'assassinat de Kennedy, la guerre du Vietnam. Dans l'univers de Catherine Bardon, la petite et la grande histoires se mêlent sans cesse. Cette saga est la preuve que les anglo-saxons n'ont pas le monopole des grandes sagas familiales et historiques. Pour moi, une grande réussite. 

    Couverture Au service secret de Marie-Antoinette, tome 1 : L'enquête du Barry   

     

     

     Au Service Secret de Marie-Antoinette, tome 1, L'Enquête d   du Barry, Frédéric Lenormand, 2019, 345 p.

     

     

     

     Un cosy mystery 100 % français ne pouvait que me plaire ! A plus forte raison lorsque ce roman tourne autour de l'un de mes personnages historiques préférés : la reine Marie-Antoinette. Finalement, on parle beaucoup du cosy mystery depuis quelques temps mais on peut considérer que les romans de Frédéric Lenormand s'inscrivent dans ce genre littéraire très en vogue depuis un bon moment ! Sa saga Voltaire mène l'enquête coche en effet toutes les cases d'un bon cosy mystery et Au service secret de Marie-Antoinette ne la détrône d'ailleurs pas mais j'ai malgré tout passé un très bon moment et j'ai beaucoup ri des péripéties de Léonard et Rose Bertin, respectivement coiffeur et modiste de la reine, qui s'improvisent enquêteurs dans un premier tome haut en couleurs. C'est décalé et plein d'humour, comme j'aime. 

    Couverture Une année folle  Une Année Folle, Sylvie Yvert, 2020, 368 p.

    L'auteure de Mousseline la Sérieuse persiste et signe. Sylvie Yvert s'impose dans le paysage du roman historique français, pour mon plus grand plaisir, moi qui aime les romans richement documentés. J'avais aimé son premier roman et pour cause : j'ai une véritable passion pour le XVIIIème siècle et notamment pour Marie-Antoinette et un roman centré sur la figure de sa fille aînée ne pouvait que me plaire ! Une Année Folle me faisait un petit peu plus peur parce que cette fois, Sylvie Yvert braque un projecteur sur une histoire relativement méconnue qui s'est passée en 1815 au moment du retour de Napoléon Ier de son exil de l'île d'Elbe. Et si j'adore Marie-Antoinette je dois dire que j'ai beaucoup plus de mal avec la figure de Napoléon, qui ne me passionne pas du tout. Et pourtant ! Est-ce là la magie du romancier ? Probablement. Je me suis immergée dans ce roman dès les premières pages, je m'y suis lovée comme dans un bon plaid bien douillet. Bref, une réussite ! Un roman mené tambour battant et qui nous tient en haleine de bout en bout. 

     Reines de Sang, Philippa Gregory, 2020, 696 pages

    Lors du premier confinement en 2020, j'ai renoué avec Philippa Gregory en lisant La Dernière Reine, roman centré sur la figure de la dernière épouse d'Henry VIII, la reine Catherine Parr. Si j'avais aimé La Reine Clandestine et La Princesse Blanche, mes deux précédentes lectures, j'avais malgré tout été gênée par quelques petits défauts récurrents. L'an dernier, La Dernière Reine m'a réconciliée avec l'univers historique riche de Philippa Gregory, la bonne impression s'est confirmée avec La fille du faiseur de rois (lu en novembre 2020) et je n'ai carrément plus eu de doutes en lisant Reines de Sang en mars. Alors oui, la découpe du roman lui donnait un aspect peut-être un peu redondant mais j'ai adoré découvrir les destinées des trois sœurs Grey, Jane, Catherine et Jane. Elles sont peu connues en France, éclipsées par les figures royales de la lignée des Tudors alors que ces trois jeunes femmes ont eu des vies passionnantes bien que pas toujours évidentes voire carrément tragiques. J'ai passé un bon moment avec ce bon gros pavé, c'est divertissant et instructif à la fois. 

     Le Passeur de Lumière, Bernard Tirtiaux, 1995, 400 p.

    J'ai laissé dormir ce roman très longtemps dans ma PAL. Trop longtemps, à tel point que je n'avais presque plus l'envie de l'en sortir. Finalement, je l'ai fait et je ne le regrette pas. Quel fresque que ce roman : la quête d'un artisan flamand du Moyen Âge, à travers l'Europe et le Moyen-Orient. Le style tout en douceur mais aussi en précision de l'auteur (qui est maître verrier de formation, comme son héros Nivard) m'a beaucoup plu et je suis ressortie de ce roman partagée entre diverses émotions. Une des plus belles surprises de 2021, sans nul doute !

      Changer l'eau des fleurs, Valérie Perrin, 2019, 664 p.

    Au mois d'avril, j'ai lu Changer l'eau des fleurs. Honnêtement, si une collègue ne m'avait pas donné son exemplaire en double, je ne l'aurais sûrement jamais lu. Parce que je ne suis pas très phénomène littéraire en général (je me méfie des livres unanimement encensés par la critique) et parce que je lis peu de romans se passant de nos jours. Et puis un roman qui se passe dans un cimetière...il y'a plus joyeux, quand même ! Changer l'eau des fleurs aura été l'exception à ces a priori. Je l'ai dévoré. Il est génial, ce roman. Bien écrit, plein d'humour et d'espoir aussi. Une vraie belle découverte et celle d'une auteure, Valérie Perrin, que je relirai sûrement. 

    Couverture Le coeur converti Le Cœur Converti, Stefan Hertmans, 2020, 416 p.

    Ce roman a été l'un des premiers achats après le premier confinement en 2020 mais j'ai mis près d'un an pour le lire. Je m'attendais à un roman historique se passant au Moyen Âge et puis...j'ai eu autre chose. En partie ce que j'attendais mais ce roman m'a aussi beaucoup surprise et passionnée. L'histoire que l'auteur belge Stefan Hertmans nous raconte est aussi une histoire personnelle, la quête de personnages disparus depuis bien longtemps. Possédant une maison secondaire dans les monts du Vauculuse, Stefan Hertmans découvre une histoire très ancienne qui le ramène entre la fin du XIème et le début du XIIème siècles à la rencontre de David et Vigdis, un couple qui a existé, un couple mixte, juif et chrétien, qui devra braver bien des dangers pour vivre son amour. Ce roman n'est pas qu'un roman historique ni même la relation d'une romance médiévale. Pour moi c'est un ovni qui m'a passionnée de bout en bout et que je recommande mille fois. On le voit peu sur les réseaux sociaux et pourtant, il mérite d'être découvert. 

    L'Indomptée : la papesse Jeanne, Donna Cross, 2021, 576 p.

    Quelle joie lorsqu'en début d'année je découvre que les éditions Points rééditent ce roman qui était très difficile à trouver et que j'avais pourtant envie de lire depuis longtemps. La légende de la papesse Jeanne est vieille depuis tellement de siècles qu'elle a fini par se confondre avec une certaine réalité. Est-ce une histoire vraie ou pas ? Aujourd'hui, beaucoup d'historiens s'accordent pour dire que non : la papesse Jeanne, qui aurait régné sur la chrétienté au IXème siècle n'est probablement qu'une légende. Mais à travers ce personnage de femme érudite et avide de connaissances à une époque où cela ne va pas de soi, à une époque où une femme cultivée est si suspecte qu'on pourrait presque la taxer d'hérésie, Donna Cross interroge aussi notre propre société et notre propre regard sur la femme, qui n'est malheureusement toujours pas dénué d'un certain déterminisme patriarcal. Au-delà de ça, c'est aussi les coulisses du Vatican et des hautes instances religieuses, parfois bien plus temporelles que spirituelles que l'auteure nous donne à découvrir. Bref, j'ai passé un excellent moment avec ce roman historique dense et formidablement bien écrit ! 

    Couverture Colette et les siennes Colette et les siennes, Dominique Bona, 2018, 480 p.

    Quand j'ai découvert ce livre, sa couverture assez estivale et un peu rétro m'a aussitôt évoqué une lecture d'été. C'est vrai que ça peut être une lecture parfaite pour des vacances même si le sujet n'est pas forcément super léger non plus : en effet, Dominique Bona, biographe renommée, a choisi de raconter l'histoire de Colette et de ses amies en partant de la déclaration de guerre de 1914. L'été prend brutalement fin cette année-là le 3 août, lorsque la mobilisation générale est décrétée. La romancière Colette et plusieurs de ses amies vont alors se retrouver dans un chalet de la rue Cortambert où elles vont mutuellement s'épauler et tenter d'échapper à l'atmosphère délétère et angoissante. Partant de là, Dominique Bona nous raconte les destins très connus ou un peu moins de Colette, déjà romancière renommée, de Musidora, qui fera carrière dans le cinéma muet qui se développe à ce moment-là, de Marguerite Moreno, d'Annie de Pène. On les connaît ou pas, mais on prend vraiment plaisir à les découvrir ou redécouvrir. 

    Couverture Pour les trois couleurs

     

     

     

       Les Aventures de Gilles Belmonte, tome 1, Pour les trois   couleurs, Fabien Clauw, 2020, 404 p.

     

     

     

     

    A la fin de l'été, j'ai lu ce roman qui m'intriguait depuis un moment. Je ne saurais pas dire pourquoi mais je suis toujours très attirée par les romans historiques tournant autour de la mer, des navires, de la marine, de la navigation. A plus forte raison lorsque ces romans se passent au XVIIIème siècle, ce qui est le cas de celui-ci. J'ai beaucoup aimé le personnage de Gilles Belmonte, capitaine de la marine républicaine et ancien de la Royale. Nous sommes dans les années 1790, la Révolution n'est pas complètement terminée mais le Directoire préfigure déjà le Consulat et le premier Empire de Bonaparte. Ce premier tome pose les bases d'une série qui compte en tout quatre romans...on découvre toute une pléiade de personnages (j'avoue les avoir parfois confondus), un univers, mais ce sont aussi toute une série d'aventures qui s'enchaînent. Oui, pour moi, c'était passionnant ! 

    Couverture L'envol du moineau L'Envol du Moineau, Amy Belding Brown, 2020, 456 p. 

    Il était évident que je lirai ce roman en automne ! La superbe couverture des éditions 10/18 m'évoquait cette saison et je l'ai donc lu en septembre dernier. Comme je vous le disais pour Les Aventures de Gilles Belmonte, j'ai parfois des attirances particulières pour tel ou tel sujet : après la marine et la navigation au XVIIIème siècle, il y'a aussi les récits qui se passent dans les colonies à l'époque moderne (XVIème - XVIIIème siècle avec, toujours, une prédilection pour cette dernière période). Ce roman correspondait donc totalement à cet intérêt-là, qui découle d'un cours que j'avais eu à la fac il y'a quelques années. Nous sommes au XVIIème siècle dans la colonie britannique du Massachusetts. Nous faisons la connaissance de Mary Rowlandson, épouse d'un pasteur puritain qui, un jour, lors d'une attaque indienne sur la colonie, sera enlevée avec ses enfants pour être réduite en esclavage par les Indiens. Mais au contact des peuples autochtones, Mary découvre une vie au plus près de la nature, une vie simple quoique rudimentaire mais qui ne ressemble en rien aux récits que les colons peuvent véhiculer sur les Indiens. Dans les grands espaces d'une Amérique encore sauvage, Mary se retrouve bientôt ballottée entre son envie de retrouver ses proches et la vie qui a toujours été la sienne et son souhait de ne pas quitter ses ravisseurs qui sont devenus bien plus que ça. 

    Couverture Circé Circé, Madeline Miller, 2019, 549 p.

    En voilà une lecture surprenante ! Oui, surprenante est vraiment le premier mot qui me vient à l'esprit pour qualifier cette lecture. J'étais loin de ma zone de confort en lisant ce roman et pourtant, je l'ai vraiment apprécié. Il m'a fallu les premiers chapitres pour m'habituer et dépasser le sentiment que je regardais un épisode de Xénia la guerrière ou La Colère des Titans, avec des dieux qui parlent et des effets spéciaux à chaque scène. Une fois que j'ai été bien prise dans le récit, je n'ai plus qu'une envie : savoir ce qui va arriver à Circé, la découvrir entièrement, d'autant plus qu'elle est finalement plus humaine que divine. Madeline Miller livre ici une vision très moderne et féministe d'une légende qui a traversé les siècles, celle de la magicienne Circé, racontée par Ovide, Hésiode mais surtout par Homère dans L'Odyssée. La sorcière/magicienne n'est-elle pas finalement la peur ancestrale de la femme puissante, émancipée et indépendante ? L'auteure prend aussi le prétexte de ce roman pour aborder des thématiques qui parlent à tous : les relations familiales, la maternité, la solitude, l'amour charnel. Bref, un beau roman qui n'est pas simplement une bête adaptation d'un conte mythologique. 

    Couverture Dernier requiem pour les innocents 

     

     

     

     Dernier Requiem pour les Innocents, Andrew Miller, 2016,   432 p.

     

     

     

    Ça faisait plus de deux ans que j'avais ce roman dans ma PAL et c'est le Pumpkin Autumn Challenge qui me l'a fait sortir cette année. Ce roman se passe à Paris en 1785 et s'appuie sur une histoire authentique : la destruction du très ancien cimetière des Saints-Innocents qui, en cette fin du XVIIIème siècle, déborde littéralement, empoisonnant les quartiers environnants. Plus qu'une simple formalité administrative, la destruction des Saints-Innocents et assainissement du terrain est un vrai symbole des préoccupations hygiénistes et, par extension, des Lumières. Le jeune ingénieur Jean-Baptiste Baratte est presque investi d'une mission de salut public par le gouvernement de Louis XVI mais il se trouve sur le terrain confronté à une réalité qu'il n'avait pas forcément prévue et qui, si elle va l'éprouver, va aussi forger en lui de nouvelles convictions et changer sa vie pour toujours. Un roman que j'ai trouvé passionnant même si son ambiance ne met pas franchement à l'aise. J'ai passé un excellent moment de lecture et le style de l'auteur m'a séduite de bout en bout.  

    Couverture Les sorcières de Pendle  Les Sorcières de Pendle, Stacey Halls, 2021, 448 p.

    Les Sorcières de Pendle a connu un beau petit succès cet automne un peu partout, sur Bookstagram ou les blogs littéraires. Pour ma part, je l'avais découvert un peu avant mais parce que l'ambiance m'évoquait l'automne, j'ai attendu un peu pour le lire. Effectivement, c'est une lecture parfaite pour l'automne, en octobre ou novembre, quand les feuilles tombent et que les jours raccourcissent...et pas seulement parce qu'il est question de chasse aux sorcières dans ce roman. J'ai trouvé que ce roman se prêtait particulièrement bien, de part son ambiance, à une lecture d'automne. Ce fut une magnifique surprise ! Ce roman m'a captivée de bout en bout, cette course contre la montre d'une jeune femme pour sauver sa vie et celle de son amie, une véritable sororité qui se met en place et qui a quelque chose de très actuel et peut faire écho avec nous. 

    Couverture Anne... : La Maison aux pignons verts / Anne : La Maison aux pignons verts / Anne de Green Gables Anne de Green Gables, Lucy Maud Montgomery, 2020, 340 p.

    Comment ne pas parler ici de mon coup de cœur de cette fin d'année ? Ce roman est un petit bonbon, une douceur à dévorer sans modération et le personnage d'Anne Shirley, imaginé par Lucy Maud Montgomery en 1908, n'y est certainement pas pour rien. En plus d'être un très bel objet, ce roman a de quoi séduire un public très vaste : on ne reste pas insensible devant la fragilité, mais aussi l'imagination et le dynamisme de cette petite Anne qui, à onze ans, a déjà connu bien des péripéties et pas toujours heureuse. Comme la petite bourgade d'Avonlea sur l'île du Prince-Edouard semble un havre de paix et de quiétude, on s'y plaît et on redemande. 


  • Commentaires

    1
    Mardi 4 Janvier 2022 à 11:57

    Tu as eu beaucoup de coups de coeur en un an ! De quoi m'inspirer pour des lectures à venir même si j'ai une PAL immense qui m'attend... Dans ta liste, c'est Anne de Green Gables qui m'intrigue le plus. J'ai hâte de découvrir cette histoire !

      • Mardi 4 Janvier 2022 à 16:20

        Tous les livres présentés ici ne sont pas des coups de coeur mais oui, j'avoue que 2021 a été une année riche en très bonnes lectures de toutes sortes. 

        Dans ce classement, les livres qui ressortent en première position sont : Anne de Green Gables, indéniablement mais aussi Le passeur de Lumière de Bernard Tirtiaux et Le coeur converti de Stefan Hertmans. Ils sont talonnés par Changer l'eau des fleurs qui m'a fait passer en peu de temps par de très nombreuses émotions. Donc oui, pour cela, 2021 a été une très bonne année et ça fait du bien de retrouver des coups de coeur ! 

        Mais évidemment, tous les romans présentés ici sont à lire à mon avis ! Ils ont tous un petit quelque chose qui m'a interpellée et m'interpelle encore. Je crois que c'est l'essentiel. cool

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